Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

Je m’appelle Clément Bourdy, j’ai 32 ans. Je suis économiste de formation, spécialisé en management et en finance.

J’ai découvert la bourse en 2005 à l’âge de 15 ans lorsque j’ai eu mon premier ordinateur. À cette époque, mon père possédait des titres sur le marché français. Il me demandait régulièrement que je lui indique le cours de ses actions. Hypnotisé par le défilement des chiffres et des couleurs, et par le côté joueurj’ai immédiatement accroché. Jusqu’au jour où j’ai pris l’habitude d’observer le marché sans qu’il ne vienne me le demander.

J’ai analysé la bourse les 4 années qui ont suivi. J’ai repéré des valeurs qui me plaisaient. J’ai analysé chacun de leurs mouvements. J’ai appris à penser et à agir différemment, en autodidacte, loin du monde codifié des institutionnels de la finance. Je me suis fait mes propres avis et j’ai construit mes stratégies.

Peu après mes 18 ans, j’ai commencé à investir. J’effectuais mes premières transactions boursières depuis les bancs de l’université. Nous étions en 2009 en pleine tourmente. Je me suis planté mais j’ai aussi fait de jolis coups (Technicolor, EDF…). Lorsque je me suis rendu compte que je réalisais plus souvent des bons coups que des mauvais, j’ai voulu comprendre pourquoi. J’ai renforcé et systématisé mes stratégies autour de mes deux grands axes de prédilection : la finance comportementale et l’approche fondamentale.

Entre 2013 et 2015, j’ai connu mes années les plus performantes. Ma stratégie m’a amené à miser deux fois consécutivement sur des sociétés dont le cours a été multiplié entre 5 et 10 fois.

La première, Innate Pharma, a quintuplé en 13 mois.

La seconde, Adocia, a été multipliée par 10 en 18 mois.

Bout à bout, ces deux performances m’ont rapporté un gain exponentiel de 2500 % en un peu plus de deux ans.

J’ai ensuite beaucoup voyagé. Une courte expérience en salle de trading m’a rappelé à ma volonté de rester indépendant. J’y ai découvert un monde financier aux antipodes de ma vision. Très carré, très « mathématisé », ne laissant aucune chance aux initiatives individuelles, et donc à mes stratégies. J’ai compris que devenir trader, mon rêve de gosse, ne serait pas pour moi. J’ai pu jusque là prendre des décisions en toute indépendance.

Début 2020, mon destin m’a amené à croiser celui de Lucas Marchand, le fondateur de la communauté Les Investisseurs. Avec lui, j’ai accepté de partager ma vision de l’investissement et mes stratégies pour dénicher les valeurs qui demain décupleront.

En juin 2021, j’ai lancé ma seconde publication Big Caps Arkanis. J’y partage la grande aventure que je vis et vais vivre ces prochaines années en poursuivant mon objectif d’indépendance financière. J’ai développé une méthode pour investir de manière régulière et pour accumuler des titres afin de générer au fil du temps des revenus boursiers. Cette publication est unique dans le sens que je partage avec une transparence entière ma stratégie, mes placements et les mouvements qui sont et vont être réalisés.

 

En novembre 2021, j’ai repris la publication Fortune De Crise, dans laquelle je livre tous les secrets sur la diversification et la couverture de portefeuille. L’ objectif est de répartir le risque d’un portefeuille sur des thématiques brûlantes en période de crise ou d’euphorie boursière afin de bâtir un véritable portefeuille défensif. Fortune de Crise couvre un arsenal de nouvelles thématiques : Or, médecines psychédéliques, cannabis, Bitcoin, métaux précieux et terres rares.

Aujourd’hui, auteur à plein temps pour la maison d’édition de Lucas Marchand, je prépare une publication complémentaire aux trois autres, entièrement axée sur le trading.

Ma philosophie

Beaucoup de choses du sytème financier me choquent. Les dés sont pipés dès lors que vous entrez en jeu, dès votre premier pas. Les gagnants sont trop souvent les mêmes parce qu’ils ont des moyens technologiques (algorithme, vitesse de transaction…) que vous n’avez pas. Ce n’est pas ma vision de la bourse et de l’investissement. Quand on comprend que le marché est un match, et lorsqu’on connaît son adversaire, on change notre façon d’investir. Et on gagne. Le marché demeure un jeu à somme nulle. Là où il y a un gagnant, il y a un perdant. Mon but est donc de vous aider à être du bon côté.

Je me considère aujourd’hui comme un investisseur de crise pour une raison : j’ai fait mes premiers pas et mes premières armes au cours d’une des plus grandes crises financières de notre monde contemporain. Sur des marchés dangereux et volatils qui requièrent de la rationalité et une boussole toujours finement réglée. Il n’y a selon moi pas meilleur moment pour apprendre des marchés que lorsqu’ils sont dans ces états là car ils aiguisent les sens.